Il est temps de vous présenter l’une des bds en ligne les plus bizarres de ces trois dernières années.
Ok, commençons les choses clairement, cette chronique n’est pas destinée aux gens qui souhaitent lire Homestuck. Ceux qui veulent le faire n’ont qu’a se taper les 5700 pages de cette bande dessinée totalement foutraque et encore en publication. Et 5700 pages, c’est trèèès long, à moins de n’avoir que ça a faire de vos journées, ne comptez pas finir en moins d’un mois. Du coup, comment parler de cette bd, de son rapport à la web-culture et des mèmes qui y sont associés et surtout de sa fan-base encore plus tarées, monomaniaque et intrusive que celle de Mon Petit Poney sans spoiler un minimum ?
Du coup, je m’adresse aux gens qui n’ont pas lus Homestuck, qui n’ont à priori aucune raison de lire Homestuck et qui ne liront peut-être pas Homestuck (parce que « tl;dr« ) et de leur expliquer ce que c’est que ce bazar, car au ressortir de 5700 pages d’images sous photoshops, de gifs animés, d’interminables compte-rendus de discussions, de musique chip-tune, de clones paradoxaux, d’animations flashs, de discussions temporelles, de monde parallèles, de mises en abimes, de brisage de 4eme mur, de jeux flashs interminables, il faut faire partager. Laissez-moi vous parler d’Homestuck !
… ou pas…
A noter que cette chronique, je vais tester la nouvelle fonctionnalité de WordPress : la galerie d’images. Il faut dire que si ça peut permettre de gagner en lisibilité, c’est pas si mal (surtout que visiblement, WordPress ne souhaite plus redimensionner les images…)
(Le style du webcomic changeant souvent, je vais marquer lorsqu’il s’agit d’un fan-art ou pas… Ici, c’est un fan art…)
Dire qu’Homestuck est une bande dessiné en ligne n’aide pas à comprendre ce qui fait dès le départ la bizarrerie de l’oeuvre. En effet, dès le départ, l’histoire s’inscrit comme une parodie des jeux de points et click et en particulier des jeux « d’escape room » qui explique plutôt l’origine de son titre (« Homestuck signifiant « Enfermé à la maison. ») En effet, dans certains jeux en « point & click » il s’agit de se creuser la tête sur la façon dont on va sortir d’une pièce, à priori fermée en s’aidant des nombreux indices que l’on peut trouver à l’intérieur.
Pour exemple, (et si vous avez 55 minutes à perdre…) voici un exemple d’Escape Room commentée par les joueurs (prise TOTALEMENT par hasard, tiens…) :
En 200?, un jeune internaute du nom d’Andrew Hussie propose avec « Jailbreak » une parodie de ce genre de jeu sur un forum. Il poste une image faite sous Paint avec un bonhomme prisonnier. Les internautes proposent des actions à effectuer et selon les actions, il dessine ce qu’il va se passer.
A noter que l’une des premiere proposition fut de lui demander « d’avoir des bras » (il en a, ils ne sont juste pas dessinés) ce qui deviendra un gag récurrent dans les autres bande-dessinées. Jailbreak se finit vite, car partant dans le n’importe quoi le plus total selon les suggestions, avec du pipi-caca à la clé, mais néanmoins certains gags sont mémorables, comme la citrouille qui ne cesse de disparaître et d’apparaître à tout bout de champs. Après Jailbreak, Hussie propose une sorte de bd « dont vous êtes le héros » qu’il ne finira pas et du nom de « Bard Quest » (la quête du barde…)
Puis, il propose une autre bd partant sur le même principe, du nom de Problem Sleuth, où le personnage incarne Problem Sleuth, un personnage de détective privé. Là encore, Problem Sleuth est enfermé dans son bureau et n’arrive pas à en sortir.
Rapidement, au fil des propositions, Problem Sleuth découvre que d’autres détectives sont prisonniers dans les pièces d’a côté et le point de vue change pour prendre alternativement le point de vue des autres inspecteurs. L’histoire part très très vite en cacahuète, mais se poursuit pendant un an : les personnages se dédoublent, partent dans le temps, combattent des monstres, traversent les dimensions, réusissent à négocier avec des elfes sans vraiment réussir à sortir dans la rue. Au fil d’un an Hussie peaufine déjà l’ébauche d’Homestuck : multiplication des intrigues, mises en abymes permanente, réitérations des , utilisations des mèmes, et commence à animer ses dessins pour faire des petites animations gif de plus en plus fouillées.
Problem Sleuth aura néanmoins une fin au bout de 1900 pages qui partent dans tous les sens.
Andrew Hussie
Pour Homestuck Hussie à une autre idée qui consiste carrèment à tout faire sous forme de jeux sous flash. Il élabore un prototype et se dit que ça lui prendra trop de temps par jour. Du coup, il abandonne mais fera énormément de gif animés et continuera la narration sous forme de commandes à donner au personnage. Ainsi, la première chose sera de donner un nom au personnage et comme tout joueur, le premier gif demandera de lui donner un nom tout pourri.
Bref, comme souvent, le début d’Homestuck commence avec un personnage, John, seul dans sa chambre. Celui-ci souhaite jouer à un nouveau jeu vidéo avec ses amis, dont les discussions vont se faire part dialogue de chat (ou « pesterlog », selon la terminologie inventé par l’auteur.) Un système qui reste tout au long de la série : les dialogues entre chaque personnages est sous forme de logs, ce qui rend parfois la lecture totalement laborieuse.
(Et c’est loin d’être le dialgoue le plus long du webcomic…)
Si la tonalité reste assez loufoque, l’histoire va se complexifier au fur et à mesure des pages. Ainsi, les personnages sont incapables de ranger un objet sans un système de « sylladex » qui rend les choses étranges et finalement, le fait de jouer à un jeu va modifier leur environnement immédiat. Hélas, toutes personne ayant commencé le jeu se retrouve avec un météorite sur le point de percuter sa maison. John, puis ses amis, réussissent à avoir la vie sauve en transposant leurs maisons dans le jeu vidéo (tandis que dans le futur, les personnages du jeu vidéo vont trouver refuge sur terre…)
On voit que face à Problem Sleuth, la technique est devenue bien meilleure, incluant des passages de jeux-vidéos vidéos, puis des gifs bien mieux animés, et des passages musicaux sous forme de dessin animé. Voici par exemple, celui qui conclut la fin du premier acte de l’histoire (à l’époque, la technique était encore rudimentaire…)
(fan art)
Les héros d’Homestuck sont au nombre 4 ados de 13 ans, dont l’histoire se retrouve intimement lié au jeu et ce, dès leur naissance. En effet, à force de jouer avec les voyages dans le temps, le récit va raconter que tous sont nés d’une manipulation de John dans le futur : il crée 8 « clones paradoxaux » de lui et de ses potes et les envoie involontairement à divers points du temps, ce qui fait que pour chaque personnage, il existe son double dans le passé.
– John Egbert : Le « leader » du groupe. Il adore vivre les films pourris comme « Les ailes de l’enfer » (son acteur préféré est Nicolas Cage) « Contact », etc…. Il vit avec son père (qui n’est lié à personne de particulier) qui est fan de pipes et d’arlequins. Son clone paradoxal se nomme Jake et est le grand père de Jane.
– Rose Lalonde : La plus intelligente et la plus cynique du groupe. Elle est passionnée de tricot et d’invocation de divinités monstrueuses à la Chtuluh. Elle a une relation passive/agressive avec sa mère, qui se trouve être son clone paradoxal, Roxy.
– Dave Strider : Le personnage « cool » de la bande, qui porte des lunettes de soleil en permanence. Il est passionné par les katanas, le rap et fait son propre webcomic. Il vit avec son frère, qui se trouve être son clone paradoxal, Dirk.
– Jade Harley : Le personnage mystique de la bande : Jade est capable de voir dans le futur. Passionnée par les citrouilles et les peluches, elle vit avec son chien Becquerel, un animal capable de manipuler l’espace temps et qui l’a élevé, son père étant mort lorsqu’il était enfant. Son clone paradoxal se trouve être la grand-mère de John.
Evidemment, les personnages ont eu aussi droit à pas mal de fans arts :
Mais surtout, petit à petit dans le récit, les personnages vont se faire troller par d’autres joueurs. (Ne pas oublier qu’il s’agit de logs de tchats.) Une certaine forme de complicité apparaît entre les trolls et les joueurs et les personnages apprendront que les trolls sont en vérité.. de véritable trolls.
Les trolls sont en fait des joueurs issues d’un monde parralèle et ayant joué sur une autre session qu’eux. Ils en veulent tout d’abord à mort parce que la session des humains à perturbé leur partie, mais au final, tous chercheront à agir ensemble.
Alors, de gauche à droite, nous avons :
– Karkat. Cancer. Leader et énorme colérique.
– Terezi. Balance. Trolleuse amusée
– Gamzee. Capricorne. Clown défoncé au soda.
– Kanaya. Vierge. Arbitre et conscience du groupe.
– Vriska. Scorpion. Trolleuse sévère et franc-tireuse.
– Aradia. Belier. Mystique de l’équipe.
– Nepeta. Lion. Joueuse naïve et observatrice.
– Equius. Sagittaire. Serviteur, gros bras et technicien.
– Tavros. Taureau. Ame damné et souffre douleur de Vriska.
– Eridan. Verseau. Noble. Pédant et suffisant.
– Feferi. Poisson. Noble. Gentille et altruiste.
– Sollux. Gemeau. Technicien et voyant du groupe.
Les trolls sont les personnages préférés des internautes et des fans qui vont les représenter sur des tonnes de supports différents. Il faut dire que chaque troll correspond à la fois à une couleur, à un signe du zodiaque, mais aussi à une rage-face, comme le montre le tableau ci dessous.
A vrai dire, chaque troll a aussi une façon de s’exprimer différentes renvoyant à différentes façon de parler sur le net ainsi qu’au L33t Sp34k des premiers trolls du net. Ainsi, Nepeta ne s’exprime que par roleplay sous forme d’astérisques (*Nepeta saute sur Karkat et lui fait des bisous) tandis que Terezi change ses lettres par des chiffres (« Wh4t N0w ? « ) ce qui rend le comic encore plus bizarre à lire.
A un moment donné de l’histoire, les personnages en complicité avec les trolls vont être obligés d’effectuer un « scratch » sur leur partie consistant en un RESET. On se retrouve donc avec un nouveau monde où les clones paradoxaux des différents personnages sont désormais les héros. Sauf que comme il s’agit d’un monde où tout à été rebattu, leur personnalité, leurs affinités, leur histoire et la temporalité est différentes : certains sont les enfants de ceux dont ils sont les parents dans la première réalité.
La même chose arrive avec les trolls, ce qu’il existe deux autres versions alternatives des trolls (donc 3×12 = 36 trolls, dont trois par signes du zodiques :
Les anciens : (Ce sont les ancêtres des trolls que l’on connait…) On ne les voit qu’à travers des flash-backs obscurs dans lesquels leur histoire est racontée comme s’ils n’avaient pas de noms..
Les post-scratchs trolls : Après le scratch, les anciens ont pris la place des nouveaux dans le monde contemporains… Leurs looks sont proche des anciens, mais leur personnalité et ce qu’ils ont vécus est différent. Ainsi, si par le passé le troll du cancer y est vu comme un prophète, dans la version « post-scratch » c’est un gros raseur.
On trouve aussi dans ce bazar des tonnes d’autres personnages. Ainsi, on tout les personnages issues du jeu « SBURB » qui vivent à l’intérieur de la session des joueurs et seront appellés à vivre sur Terre dans le futur.
Parmis ces personnages, calqués sur le jeu d’échec se trouve un roi et une reine, mais aussi 4 subalternes, Spades Slick, Hearts Boxcars, Diamonds Droog, Clubs Deuce, . Ces quatres personnages sont aussi connus dans une réalité parallèle comme le « Midnight Crew » et sont les héros du webcomic se trouvant sur MSPA lorsque John et ses amis allument leur ordinateur. Les membres du Midnight Crew se battent contre 16 personnages (dont chacun porte le signe d’une boule de billard américain.)
Spade Slick est plus connu sous le nom de Jack Noir. C’est l’un des personnages les plus perturbant, car il se rebelle et fout la merde dans la partie. Il va devenir petit à petit un personnage omniscient capable de tuer n’importe quel personnage en un clin d’oeil. Et pas mal de personnages principaux vont se faire assassiner au détour d’une page, de façon totalement arbitraire.
(Jack Noir sous sa forme initiale…)
Jack Noir sous sa forme « prototypée »
Même si Jack Noir est un fou furieux, le méchant principal de la série se trouve être Lord English.
Et deux joueurs d’une autre session, appellés les « chérubins » ressemblent étrangement à des versions « mignonnes » de Lord English.
On trouve aussi d’autres personnages comme « Doc Scratch » un personnage omniscient ayant pour but de créer le scratch
et Andrew Hussie lui même, qui ne manque pas de briser le 4eme mur à tout bout de champs (le 4eme mur est même techniquement présent dans le webcomics dans le scénario lui-même…)
(Animation que l’on trouve au beau milieu des pages de Homestuck…)
« Laissez moi vous parler d’Homestuck »
Bon, ça y est, vous avez un bon gros mal de crâne ? Et encore, je vous ai pas encore expliqué les mèmes et les concepts liés à Homestuck (ce sera pour une autre chronique…) ni la profondeur et la loufoquerie de cette bd qui passe son temps à changer. Du coup, les fans d’Homestuck ont la facheuse habitude de passer pour des tarés auprès de leur entourage, mais aussi d’être aussi « agaçant » que des témoins de Jéhovah, à force de vouloir expliquer en quoi leur délire s’étalant sur 6000 pages est à LIRE ABSOLUMENT !
Ceci est un fan art (un très très bon fan art)
D’où ce mème « Let Me Tell You about Homestuck » (laissez-moi vous parler d’Homestuck) parodiant la phrase « Let Me Tell You about Jesus » (laissez moi vous parler de Jésus) brandit par les évangelistes de tout poil et qui fonctionne comme un mème.
Lurk Moar :
MSPA Adventure : le site officiel où est publié Homestuck.
Homestuck Fr : la traduction française d’Homestuck.
Frenchstuck : le forum français du web-comic.
MSPA Wiki : un Wiki consacré à homestuck.
Know Your Meme consacre un épisode à Homestuck.
J’vais relire la chronique… Encore une fois… Merci de décortiquer tout ce délire pour nous, j’dois dire que c’est un des phénomènes auxquels je ne préfère même pas m’y intéresser aux premiers abords tellement il est complet.
Sympa 🙂
Perso, je preferais l’ancien affichage.
Je préférais aussi l’ancien affichage…
Merci pour cet article.
Le nouvel affichage est pas top ; il oblige à passer d’une image à l’autre et ne permet pas de tout charger en même temps (par contre, la lecture doit être plus pratique sur téléphone intelligent)
Je pense que tu vas pouvoir réaliser d’autres chroniques avant de pouvoir épuiser ce sujet :o))
Belle mise en bouche cela-dit, j’ai un peu de mal avec le nouvel affichage d’image, je trouve que ça casse le rythme de lecture, mais ça devrait aller d’ici deux ou trois prochaine chronique :oP
J’ai commencé à lire Homestuck, le moins que l’on puisse dire c’est que ça met du temps à démarrer… Au début, c’est très très geek, et pas uniquement à cause des références pop-culture. Et puis, contrairement à d’autres webcomics, il n’y a pas la possibilité de « zapper » le début pour arriver directement à l’endroit qui nous intéresse (ou uniquement de façon indirecte, à la rigueur, mais c’est assez chiant), en gros on est obligé de se taper tout le début. Je verrai bien ce que donne la suite, de toute façon…
T’en est rendu où ?
J’en suis à ma première rencontre avec Rose Lalonde – et j’ai un peu accéléré au milieu. Si je me souviens bien, c’est le troisième personnage de la série seulement que l’on voit de visu. Et elle arrive après plus de 200 tableaux (et le deuxième personnage que l’on voit, le père de John, arrive après plus de 80 tableaux) !
Il y a certes de bonnes idées dans le multimédia, mais à vrai dire, je n’accroche pas trop, pour le moment ; ces références continues au fonctionnement des jeux d’aventure dans un webcomic rend les choses confuses de mon point de vue, et je trouve que le tout n’est pas si drôle que ça. Même Harry Potter commençait mieux…
Ha ouais, t’es vraiment au tout tout tout début. Lorsqu’ils se battent pour ranger leurs sylladex.
J’ai commencé à lire 🙂
Je viens de finir le premier interlude. C’est vraiment sympa !
« Hahaha, un de plus »
(Signé la conspiration des blogueurs pour que les gens perdent leur temps à lire des bds sur le net !)
Mon dieu, le premier article en français sur Homestuck, joie et allégresse dans mon petit coeur de fan.
En lectrice de longue date (depuis un an maintenant), et connaisseuse du fandom, je n’ai rien à redire sur cette article,tu t’est bien dépatouillée avec l’histoire ô combien compliqué de ce truc. Et en plus, y’a de bon fanart! Bravo *clapclap*
« les fans d’Homestuck ont la fâcheuse habitude de passer pour des tarés auprès de leur entourage »
J’ai perdu tous mes amis. Mais je m’en fous. Parce-que moi, maintenant, j’ai Homestuck.
Eheheh, trêve d’idioties, merci pour cette chronique. (en tant que grande adoratrice de Noir, je suis toute contente que tu ne l’aies pas oublié :D)
Comment ca fais plaisir. Juste un truc tu as mis « Maryam » pour « Kanaya ». Sinon c’est surper. Ca fais plaisir de voir que nous sommes lu en français (qui en passant est la meilleur traduction sur le net)
Wow, moi aussi je me suis mis à Homestuck après avoir lu cette chronique. J’adore. Adieu la productivité (déja au début de l’acte 3).
Ah bah merci! Maintenant je suis en phase avec la traduction française!
Hah!
Quel bonheur, enfin un article sur homestuck!
Merci de détailler et expliquer ce délire inexplicable (jusqu’ici (?) )
Merci de m’avoir fait découvrir homestuck !
En deux ans de chroniques j’ai pu voir énormément de choses grace à ton formidable boulot, mais je crois que cette chronique en particulier va me marquer, sans elle je serai passé à coté d’homestuck. Il m’aura fallu un peu plus de 3 mois pour arriver à bout des 6242 pages, maintenant je me rends compte que je suis passé à coté de pleins d’occasions de le découvrir avant que cette chronique ne paraisse. Enfin bon j’ai vendu mon ame à hussie, eu des notes à chier au troisième trimestre mais maintenant je peux passer pour un fou aux yeux de mes amis sans difficulté 😀
Encore une fois merci 😀
Mon dieu, qu’ai-je fait ?
Wow, je suis passée par hasard, et je dois dire que cette chronique est super bien écrite, même si comme tu le dis, c’est juste IMPOSSIBLE de résumer tout ce beau bordel !! X’DDD On s’y casse les dents à coup sûr. Du coup je me contente de prévenir que c’est super bizarre au début et pas forcément bien, puis de mettre un lien avec la vidéo qui m’a fait découvrir le fandom ! X’D Et encore, seulement avec les gens qui me posent des questions dessus.
Maintenant je pourrais AUSSI mettre un lien jusqu’à cette chronique ! o/
Juste un truc que j’ai relevé au niveau des légendes des fanarts : à un moment, sous un fanart tu mets « Feferi et Vriska », sauf que c’est Meenah !^^
En parlant de ça, ça m’a bien fait rire ton commentaire sur les fans qui inventent des relations entre les persos et Hussie qui se marre à mettre des fausses pistes un peu partout… X’D
Bref, excellent boulot !!
Très bien résumé ! C’est compliqué,mais tu t’en sort pas trop mal,on comprend le contexte,mais vu que maintenant il y a 8300 pages,tu devrais peut-être faire un autre article ^^
En attendant,c’est grâce à ton résumé que j’ai découvert Homestuck,et je te dis merci !! Je suis une grande fan,mais je commence à bien saouler mes amis maintenant…
Je n’en suis qu’à la moitié (4511e page pour être exacte),mais je peux te dire
BRAVO !!!
WOW.
Alors je vais faire ma chieuse sur un truc qui date un peu mais certains des noms donnés pour les fanart ne sont pas corrects (exemple: un où il est dit que c’est Feferi, c’est en fait Meenah, sa version post-scratch, et de même pour d’autres ou il est dit que c’est Vriska alors que c’est son ancêtre, Mindfang)
Mais sinon c’est pas mal comme chronique et bravo pour avoir résumé ce beau bordel de voyages temporels, clones paradoxaux, de quadrants, god tier et autres personnes mortes qui revivent puis remeurent etc :’)